Axelle, Chloé, Clélia, Maelle, Milena, Nisrine et Oumou sont 7 étudiantes en deuxième année de B.U.T. GEA à l’IUT de Paris – Rives de Seine. Dans le cadre de leur projet de SAé (situation d’apprentissage et d’évaluation), elles ont choisi de travailler sur un projet autour de la précarité étudiante, notamment à travers la réalisation d’un questionnaire et d’un reportage pour sensibiliser à cette problématique qui touche plus de 100 000 étudiantes et étudiants.

Projet StopPreca

Axelle, Chloé, Clélia, Maelle, Milena, Nisrine et Oumou, 7 étudiantes en deuxième année de B.U.T. GEA, sont à l’origine du projet StopPreca qui traite du sujet de la précarité étudiante.

« Étant nous-mêmes étudiantes et certaines vivant seules, nous sommes conscientes que les fins de mois peuvent être difficiles, c’est la raison pour laquelle nous avons choisi ce sujet ». Pour ces 7 étudiantes en 2ème année de B.U.T. GEA, sensibiliser à la précarité étudiante est un enjeu important pour faire prendre conscience de cette problématique.

Après avoir effectué des recherches sur le sujet de la précarité et réfléchi à leur ligne éditoriale pour l’élaboration du reportage, les étudiantes en deuxième année à l’IUT se sont rapproché des associations d’aide aux étudiantes et étudiants. Parmi celles qui ont accepté de figurer dans leur reportage, on retrouve 1 cabas pour 1 étudiant ; Emanciper Mayotte, COP1. L’idée était de trouver des associations qui agissent à plusieurs niveaux : aide administrative, alimentaire, accompagnement au changement culturel… afin de toucher un maximum de personnes.

« Certain·es étudiant·es ont généralement honte de cette situation de précarité, ou ne se sentent pas forcément légitimes de se tourner vers des associations […] le but de notre reportage est de les aider en exposant les différentes solutions pour y remédier. »

Des témoignages d’étudiants et étudiantes viennent également compléter, notamment celui de Maëlle, une étudiante qui avait fait une vidéo virale sur l’application TikTok en dénonçant sa situation personnelle.

L’idée à travers ce reportage : « rendre un peu moins tabou le sujet […] montrer aux jeunes que les associations sont faciles d’accès », mais également faire connaître le bénévolat dans les associations qui viennent en aide aux étudiantes et étudiants.

Les étudiantes ont également réalisé un questionnaire anonyme adressé aux étudiantes et étudiants de l’IUT, dont les résultats seront insérés dans le reportage qui sera diffusé en juin prochain.

Pour suivre le projet StopPreca sur Instagram : @stop_preca

Pour toute question/remarque sur le projet, les étudiantes sont joignables par mail : reportage.precarite.etudiant@gmail.com

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